[Cinémavis #46] Sicario (Denis Villeneuve, 2015)
Ah, Villeneuve. Je remonte sa filmographie dans le temps et j’étais déjà surpris avec Prisoners de l’affirmation de sa griffe. Sicario apporte sa […]
Ah, Villeneuve. Je remonte sa filmographie dans le temps et j’étais déjà surpris avec Prisoners de l’affirmation de sa griffe. Sicario apporte sa […]
Depardieu survit dans la continuité de mes explorations cinématographiques ; je coupe le reste de la semaine avec des découvertes impromptues
Une version entièrement afro-américaine* de Le Magicien d’Oz, c’est une de ces idées qui semblent absurdes et promises à la navetitude.
Entre cinéma d’arts et d’essai en Islande et en Russie, Tom Hanks derrière la caméra et Tornatore qui fait jouer
J’ai vu le film deux fois et je ne m’attendais pas vraiment à ce que les pompiers grotesques créés par
Déceptions chez Depardieu et Roberts ; heureusement, la jeunesse politique italienne de l’après-guerre tient toujours ses promesses, tout comme Fatih Akın
Un ventre mou cette semaine ; Bourdon qui a le bourdon, la Russie austère, la Suède qui se renie… Il fallait
Cela fait cinq mois que je n’ai pas publié d’avis lecture, pourtant je n’ai jamais arrêté de lire. L’explication est
De New York au Burkina Faso, de Paris à Hambourg, de Bergerac à İstanbul, je crois que ce cinébdo est
Le titre français de The Italian Job laisse supposer que l’or, porté par ses petites jambes, s’enfuit pour provoquer quelque hilarité