Hebdo – semaine 15, 2016
Lundi Les Minions Ceci est un film qui a su mélanger un beau spectacle enfantin à l’humour simple – certes […]
Allemand, Critiques cinéma hebdomadaires, Film musical
Critiques cinéma hebdomadaires
Hebdo – semaine 14, 2016
Lundi Extrêmement fort et incroyablement près Mardi Les Gens en maillot de bain ne sont pas (forcément) superficiels Ce titre
Allemand, Critiques cinéma hebdomadaires, Jean Gabin, Steven Spielberg, Tiré d'une oeuvre de Stephen King
Hebdo – semaine 13, 2016
Lundi La Nuit est mon royaume Après nous avoir fait croire, dans les cinq premières minutes, qu’il reprenait sa casquette
Allemand, Critiques cinéma hebdomadaires, Film musical, Jean Gabin, Steven Spielberg, Tiré d'une oeuvre de Stephen King
Hebdo – semaine 12, 2016
Lundi Au-delà des Grilles Jean Gabin nous propose ici une production palpitante, riche en antagonismes émotionnels où le scénario comme
Analyse
Dossier : le flashback
L’analepse, le retour en arrière, bref : le flash(-)back, court historique et analyse facile. C’est quoi Le flash-back est un procédé
Jean Gabin, Russe, Steven Spielberg, Tiré d'une oeuvre de Stephen King
Hebdo – semaine 11, 2016
Lundi Miroir Bien que la rupture se fasse sentir avec le cinéma d’avant-guerre (à tel point que ce film de
Film musical, Steven Spielberg, Tiré d'une oeuvre de Stephen King
Hebdo – semaine 10, 2016
Lundi Un brave Garçon Un film qui est une grosse surprise : russe et plus ou moins polyglotte, réalisé en 1943.
Hors-thématique
Hebdo – semaine 9, 2016
Lundi Mukhsin La poésie s’est faite dure à trouver ici, elle n’existe que par brins discrets que les différences culturelles
Film musical, Jean Gabin, Russe, Steven Spielberg, Tiré d'une oeuvre de Stephen King
Hebdo – semaine 8, 2016
Lundi Martin Roumagnac Ce film manque complètement du « peps » qu’on pouvait légitimement attendre de la reprise du cinéma dans l’après-guerre,
Film musical, Jean Gabin, Steven Spielberg, Tiré d'une oeuvre de Stephen King
Hebdo – semaine 7, 2016
Lundi L’Imposteur En bon cinéphile, on ne peut pas parler de ce film sans une référence énorme à son contexte