[Cinémavis #46] Sicario (Denis Villeneuve, 2015)
Ah, Villeneuve. Je remonte sa filmographie dans le temps et j’étais déjà surpris avec Prisoners de l’affirmation de sa griffe. Sicario apporte sa […]
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Dans le format des cours intuitifs, je transmets des méthodes que j’ai conçues ou améliorées moi-même pour m’aider à comprendre
Depardieu survit dans la continuité de mes explorations cinématographiques ; je coupe le reste de la semaine avec des découvertes impromptues
Une version entièrement afro-américaine* de Le Magicien d’Oz, c’est une de ces idées qui semblent absurdes et promises à la navetitude.
(1 556 mots) Une troisième micronouvelle plus tellement micro avec ses 1 556 mots ; ça ne reste que cinq à sept
Entre cinéma d’arts et d’essai en Islande et en Russie, Tom Hanks derrière la caméra et Tornatore qui fait jouer
Un article qui part à la recherche des premières attestations de l’écriture selon les endroits, et à partir de là,
J’ai vu le film deux fois et je ne m’attendais pas vraiment à ce que les pompiers grotesques créés par
Déceptions chez Depardieu et Roberts ; heureusement, la jeunesse politique italienne de l’après-guerre tient toujours ses promesses, tout comme Fatih Akın
Quel maximum de consonnes et de voyelles différentes un humain pourrait-il théoriquement produire ?