Poème (18-20) : Charbons d’antan
La douleur lucide réside en mon auspice Sa saveur acide flétrissant mon jadis Frêles et fébriles éphémères de ma nature […]
La douleur lucide réside en mon auspice Sa saveur acide flétrissant mon jadis Frêles et fébriles éphémères de ma nature […]
Des bouffées d’eau barrent de dignes ballerines Ce ciel si sérieux qui serait sinon vide C’est le temps qui passe,
Aujourd’hui, un poème qui sort un peu de l’ordinaire puisque je l’ai rédigé dans ma langue construite. Aussi ne rime-t-il
J’apprécie d’ordinaire que mes poèmes se laissent allonger plus, mais celui-ci a insisté pour garder la taille que vous pouvez
Serais-je un mot dans une langue étrangère ? N’aurais-je de sens que tout son contraire ? Serais-je la grammaire d’un idiome perdu ?
Mes yeux sont perdus, sur cette nouvelle orbite Où les lignes sont courbes, et l’inerte est en fuite Les lunes
Et si les premiers mots d’un auteur n’étaient pas si différents de ce qu’on entend plus généralement par « premiers mots »
Poème de rêve. Au fait, pour une meilleure lecture de mes poèmes, ne prononcez pas les caducs.